Conclusion

Sans roue platte, nous avons traversé sous de mauvaises conditions météorologiques les alpes sur un tracé déjà mythiques, celui de la route ALbrecht. Oui,en effet, on avait que finalement 2 jours sur 8 où le soleil brillait et où il ne pleuvait pas. En tout on a fait 12336 mètres de dénivelé et 501 km en tout. J’ai eu le malheur d’avoir une panne de vélo que je ne pouvait pas réparer moi-même. La roue libre s’est cassé, cependant, sauvé par le service excellent du magasin Scott à Scuol Bikeria, dirigé par un mécano Gian Duri Crastan que je peux que recommander. En ce qui concerne le logement, on avait de tout, du bon et du mauvais. Top : Galtür Hôtel Luggi et Madonna di Campiglio, Hôtel del la Sportivo. Puis l’auberge de jeunesse est également à recommender, sauf que pour les prix en suisse il faudra s’habituer. Une simple pizza Magharita coûte 18Euro! Comme flop, clairement l’Albergo Figidolfo à Prescasaglia, car qui veut une chambre fumeurs et le tabagisme soit interdit dans chaque chambre d’hôtel.
Cette transalp pour Maurice et moi était une belle expérience. Nous avons eu énormément de plaisir. Pour le conditionnel j’étais surpris qu’on arrive à maîtriser ceci sans préparations excessives. Certes, les jambes faisaient mal, et les maux causés par la selle du vélo était acceptable, plutôt Maurice avait des problèmes ce cul, mais c’est peut-être à cause de son vélo hardtail qu’il prend plus de coups. Mon fully est un peut plus agréable pour cette sorte d’épreuve. Pour le tracé j’ai utilisé mon Garmin 810 basé sur la carte Transalpin Pro V4. Maurice a utilisé son vieux Garmin 500 et tous les tcx fichiers ont bien fonctionnés. On n’a jamais perdu le chemin. A mon avis les cartes OpenStreet Alpes auraient été aussi bien.
Maintenant, il est temps de digérer cette belle expérience et de penser déjà à une nouvelle aventure, car après la Transalp est avant la Transalp; L’Internet est plein d’exemples.
Je souhaite que ce blog servira ainsi que les photos comme une source d’inspiration pour tous les autres …